« J’ai envie d’écrire un livre ».
24% des français rêvent d’écrire un livre. Mais combien de personnes vont jusqu’au bout de leur rêve ?
Les auteurs sont terriblement seuls face à leur rêve. Alors souvent, soit ils renoncent, soit ils abandonnent avant d’arriver jusqu’au bout. Et pourtant en faisant ça, ils tuent une partie d’eux. S’en priver, c’est ne pas être entendu et priver les lecteurs de livres inspirants qui amènent à réfléchir, en prenant le temps. Renoncer à son rêve de livre, c’est risquer de mourir avec des regrets.
Effectivement, en apparence, l’écriture peut sembler inaccessible, réservée à un petit groupe de privilégiés, élitiste, voire très exigeante.
Elle est aussi souvent synonyme de grande solitude. C’est important d’honorer sa part créative. Et le livre est l’occasion de montrer une autre facette de soi, de rassembler ses idées.Laisser tomber, c’est ne pas être entendu et priver les lecteurs de livres inspirants qui amènent à réfléchir, en prenant le temps. Aujourd’hui, chacun peut revendiquer sa légitimité à raconter une histoire, à mettre en avant une expertise, sans pour autant avoir une âme d’artiste, ou des compétences littéraires exceptionnelles. Les profils sont divers et variés. L’édition est toujours en recherche de nouvelles plumes. Et l’auto-édition donne la possibilité d’avoir son livre en mains rapidement.
Alors comment aller jusqu’au bout de ce rêve quand on ne connaît rien du monde de l’édition, avec le syndrome de l’imposteur, la peur de faire entendre sa voix et d’être jugé ? Par où commencer pour écrire un livre ?